La presse nationale en parle :
Vu dans le Figaro suite à la publication des écoutes téléphoniques dans l'affaire Guérini :
"L'écoute, révélée par nos confrères de Libération et de La Provence,
montre son état d'esprit et souligne l'isolement de plus en plus grand
de celui qui fut l'homme fort du PS dans les Bouches-du-Rhône. La
conversation se déroule le 21 janvier 2012 entre Rémy Bargès et Olivier
Ferrand, le patron du think-tank Terra Nova. Ce
dernier, natif de la région, a été investi par le bureau national du PS
pour les législatives dans la circonscription de Salon. Il appelle
Bargès qu'il connaît depuis longtemps car il doit faire face à une
candidature dissidente, celle de Michel Tonon, maire de Salon,
orchestrée par Guérini qui redoute l'arrivée de sang neuf sur un
territoire qu'il a longtemps contrôlé.
Vu dans Libération :
"Rémy Bargès et Olivier Ferrand se
connaissent de longue date. Ce jour-là, c’est Ferrand qui appelle. Il a
un souci avec deux élus socialistes qui se présentent en dissidents
contre lui (ils ont depuis abandonné). Rémy Bargès lui explique que son
patron, Jean-Noël Guérini, leur a monté la tête : «Il est hostile à
ton arrivée dans les Bouches-du-Rhône. Il a expliqué à Tonon [maire PS
de Salon-de-Provence, ndlr] que c’était sa mort politique, que tu allais
lui prendre la mairie, enfin tout. Voilà, donc là, tu es tombé chez les
fous.»
2 commentaires:
Les écoutes publiées dans la presse nationale ne sont pas juridiquement suffisante pour condamner Guérini mais personne n'est dupe. Pour Tonon c'est la même chose, il est le président d'Agglopole, le dernier décideur et dans l'affaire des transports comme celle des ordures menagères, c'est qui décide et dans ces deux marchés jeuteux, alexandre Guérini n'est pas loin....
Guérini et Tonon roule ensemble, c'est ce qui a causé une cassure entre les vrai membre du Ps et ceux qui attendent une contrepartie personnel d'un nouveau mandat du sortant.
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